- Natu'ria
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Date d'inscription : 22/04/2018
Age : 22
/Section 7 - Flore
Mer 4 Nov - 11:22
<Niveau/1= Citoyen>
I/ Dionée Rouge-Dent de Pollarsi.
II/ Braihmel sombre de Pollarsi.
I/ Dionée Rouge-Dent de Pollarsi.
Description:
D'une taille variante selon l'âge de la plante, pouvant atteindre un mètre de hauteur (après l'étude d'une dizaine de dionées). Un tronc principal orné au bout les feuilles de la dionée Rouche-dent. Disposées en triangle d'un diamètre variant de 10 à 45 centimètres à taille adulte, les limbes ("feuilles", ou ici on peut dire "lianes") sont composées de trois parties: le pétiole (la tige), les stipules (ou ailes de la tige) et la "masse" (extrémité de la tige en forme de masse).
La partie supérieure de la plante carnivore est formée par le "piège" ("mâchoire", trois lobes séparé et reliés par une nervure épaisse. A la périphérie des trois, on y retrouve trois languettes, permettant de garder prise sur la cible. Au centre, une multitude de dents (des séries de 15 à 25), ainsi qu'une bande comportant des petites glandes sessiles qui sécrètent un acide afin d'attaquer les proies.
La surface bleutée de la plante est assez solide, arrivant à résister aux vibrolames et aux coups simples.
Enfin la base accueille le centre digestif, composé d'une multitude compartiment acide (variant de trois à sept).
Habitat :
- Près de marais, de sources d'eau. A l'intérieur des forêts profondes.
- Traces et études faites dans la forêt où Trinitea s'est posé lors de la deuxième campagne.
Comportement :
Agitant leurs lianes pour faire croire aux proies d'une petite créature, les dionées attaquent en groupe de trois minimums. Fracassant le corps de l'ennemi, elles tentent de briser et de déchiqueter le corps afin de s'en nourrir plus facilement.
Attrapant leurs cibles avec leurs lianes aussi, elles peuvent néanmoins rendre inefficace une personne grâce à l'acide qu'elles projettent.
Leurs moyens d'exécution est aussi de faire entrer la gueule de la proie dans le piège, pouvant liquéfier et grignoter la tête... afin de rendre la proie facile.
Manuel de survie :
Privilégiez un matériel pyrotechnique. Aidez vous de l'électricité ou de flammes, leurs carapaces ne semblent guère résistantes à cela. Coupez les lianes va amener la plante à cracher son acide. Enfin, vérifiez bien vos pieds et jambes en forêt, une liane peut vous attraper.
Preuves:
Etude faites sur treize plantes retrouvées dans une immense forêt. Récupération de souches, et d'une graine (en développement).
Certains apprentis ont même affronté quelques uns durant un entraînement.
D'une taille variante selon l'âge de la plante, pouvant atteindre un mètre de hauteur (après l'étude d'une dizaine de dionées). Un tronc principal orné au bout les feuilles de la dionée Rouche-dent. Disposées en triangle d'un diamètre variant de 10 à 45 centimètres à taille adulte, les limbes ("feuilles", ou ici on peut dire "lianes") sont composées de trois parties: le pétiole (la tige), les stipules (ou ailes de la tige) et la "masse" (extrémité de la tige en forme de masse).
La partie supérieure de la plante carnivore est formée par le "piège" ("mâchoire", trois lobes séparé et reliés par une nervure épaisse. A la périphérie des trois, on y retrouve trois languettes, permettant de garder prise sur la cible. Au centre, une multitude de dents (des séries de 15 à 25), ainsi qu'une bande comportant des petites glandes sessiles qui sécrètent un acide afin d'attaquer les proies.
La surface bleutée de la plante est assez solide, arrivant à résister aux vibrolames et aux coups simples.
Enfin la base accueille le centre digestif, composé d'une multitude compartiment acide (variant de trois à sept).
Habitat :
- Près de marais, de sources d'eau. A l'intérieur des forêts profondes.
- Traces et études faites dans la forêt où Trinitea s'est posé lors de la deuxième campagne.
Comportement :
Agitant leurs lianes pour faire croire aux proies d'une petite créature, les dionées attaquent en groupe de trois minimums. Fracassant le corps de l'ennemi, elles tentent de briser et de déchiqueter le corps afin de s'en nourrir plus facilement.
Attrapant leurs cibles avec leurs lianes aussi, elles peuvent néanmoins rendre inefficace une personne grâce à l'acide qu'elles projettent.
Leurs moyens d'exécution est aussi de faire entrer la gueule de la proie dans le piège, pouvant liquéfier et grignoter la tête... afin de rendre la proie facile.
Manuel de survie :
Privilégiez un matériel pyrotechnique. Aidez vous de l'électricité ou de flammes, leurs carapaces ne semblent guère résistantes à cela. Coupez les lianes va amener la plante à cracher son acide. Enfin, vérifiez bien vos pieds et jambes en forêt, une liane peut vous attraper.
Preuves:
Etude faites sur treize plantes retrouvées dans une immense forêt. Récupération de souches, et d'une graine (en développement).
Certains apprentis ont même affronté quelques uns durant un entraînement.
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II/ Braihmel sombre de Pollarsi.
Description:
La Braihmel est totalement dépourvue de poils, puisqu'elle se retrouve souvent en culture émergée, contrairement à d'autres de son espèce, et ses tiges se ramifient en culture immergée. Possédant des feuilles beaucoup plus petites (pouvant aller jusqu'à 30 mm de long et 10 de large). De formes ovales, les feuilles sont plutôt légèrement bleutées ou noirâtres avec des veines foncées.
La base se fait le plus souvent sur un tronc solide, en partie immergé dans l'eau. Les feuilles succulentes et coriaces résistent aux herbivores aquatiques. La floraison offre de jolies petites fleurs blanches souvent teintées de bleu ou de rose.
Habitat :
Facilement trouvables près des sources d'eau et des cours d'eau de la lune de Pollarsi.
Comportement :
Facile à pousser, la Braihmel a besoin de beaucoup d'eau, lui donnant sa chère et ses bienfaits. Le peu de soleil qu'on lui accorde donne cette couleur sombre, il est possible que cette plante peut avoir des cousines troglodytes. Néanmoins, la rapidité de pousse amène aussi à une surprenante production, pouvant même détruire les autres plantes autour si elle n'est pas entretenue convenablement.
Manuel de survie :
Les feuilles de cette plante sont succulentes, de forme oblongue et 4-6 millimètres d'épaisseur, les feuilles oblancéolées sont agencées de façon opposée sur la tige. Ceci permet de créer des petits remèdes pour guérir de maux de tête, de nausées, de fatigue et sert aussi d'antalgiques. Mangez et sucez une feuille peut vous revigorer légèrement, attention à ne pas en trop abuser, des effets secondaires peuvent apparaître: boutons, paralysie partielle (bouche, langue).
Preuves:
Prélèvement de certaines souches prises dans des coins d'eau et des ruisseaux de forêts, trois graines en développement.
La Braihmel est totalement dépourvue de poils, puisqu'elle se retrouve souvent en culture émergée, contrairement à d'autres de son espèce, et ses tiges se ramifient en culture immergée. Possédant des feuilles beaucoup plus petites (pouvant aller jusqu'à 30 mm de long et 10 de large). De formes ovales, les feuilles sont plutôt légèrement bleutées ou noirâtres avec des veines foncées.
La base se fait le plus souvent sur un tronc solide, en partie immergé dans l'eau. Les feuilles succulentes et coriaces résistent aux herbivores aquatiques. La floraison offre de jolies petites fleurs blanches souvent teintées de bleu ou de rose.
Habitat :
Facilement trouvables près des sources d'eau et des cours d'eau de la lune de Pollarsi.
Comportement :
Facile à pousser, la Braihmel a besoin de beaucoup d'eau, lui donnant sa chère et ses bienfaits. Le peu de soleil qu'on lui accorde donne cette couleur sombre, il est possible que cette plante peut avoir des cousines troglodytes. Néanmoins, la rapidité de pousse amène aussi à une surprenante production, pouvant même détruire les autres plantes autour si elle n'est pas entretenue convenablement.
Manuel de survie :
Les feuilles de cette plante sont succulentes, de forme oblongue et 4-6 millimètres d'épaisseur, les feuilles oblancéolées sont agencées de façon opposée sur la tige. Ceci permet de créer des petits remèdes pour guérir de maux de tête, de nausées, de fatigue et sert aussi d'antalgiques. Mangez et sucez une feuille peut vous revigorer légèrement, attention à ne pas en trop abuser, des effets secondaires peuvent apparaître: boutons, paralysie partielle (bouche, langue).
Preuves:
Prélèvement de certaines souches prises dans des coins d'eau et des ruisseaux de forêts, trois graines en développement.
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